Parti Patriote 

Pouvoir au peuple 

Parti Patriote 

Pouvoir au peuple 

Menu

Revue de presse

12 juin 2021 : le Parti Patriote dévoile le nouveau chef de son aile fédérale !


Le Parti Patriote a dévoilé le nouveau chef de son aile fédérale, Monsieur Carl Brochu, le 12 juin 2021, dans la ville de Saint-Eustache. 

Monsieur Brochu succède ainsi à Monsieur Donald Proulx, lequel demeure président du Parti Patriote au fédéral. 

Pour revivre le moment en direct, visitez le lien suivant : 

https://www.facebook.com/partipatriote/videos/164348955665305/

Pour consulter la couverture médiatique de l'événement, consultez le journal l'Éveil en visitant le lien suivant : 

https://www.leveil.com/actualites/devoilement-a-saint-eustache-le-parti-patriote-a-un-nouveau-chef 

Parti Patriote ©2019
Parti Patriote ©2019

Communiqué

Montréal, le 8 octobre 2019 - Le Parti Patriote est officiellement admissible auprès d'Élection Canada

Le 8 octobre 2019, Le Parti Patriote a eu la confirmation de son admissibilité officielle à titre de parti politique auprès d'Élection Canada ! 

Puisque la date limite pour les candidatures en vue de la 43ième législature canadienne était le 30 septembre 2019, le parti n'a pas pu participer aux élections générales de cette année. 

Néanmoins, le Parti Patriote est autorisé à prendre part aux prochaines élections générales au pays de même qu'à toute élection partielle. Le parti envisage la création d'une formation politique destinée à faire une percée à l'Assemblée nationale du Québec et éventuellement y prendre le pouvoir. 


Parti Patriote ©2019
Parti Patriote ©2019

Entrevue avec Donald Proulx, chef du Parti Patriote

La création d'un Parti Patriote destiné à œuvrer au parlement canadien s'inscrit dans une stratégie plus large visant à prendre le pouvoir tant au niveau municipal que provincial au Québec. Le chef du Parti Patriote, Donald Proulx, l'avoue lui-même : tout est orchestré pour ultimement mener la nation québécoise vers la souveraineté. 

Le Parti Patriote prend appui sur une charte pour guider ses actions, s'engageant notamment « à défendre et à protéger le peuple québécois de tout ce qui peut nuire à son existence » concernant « ses valeurs, son patrimoine, sa langue, ses institutions, ses entreprises et ses frontières ». Ces valeurs comprennent la laïcité, la neutralité religieuse de l'État ainsi que la liberté d'expression et l'égalité homme-femme.  

Soulignons que l'organisation a déjà mis sur pied un parti municipal en créant l'Union Patriote (UP). La formation politique avait attiré l'attention en 2018 avec l'organisation d'une marche afin de faire pression sur l'administration Plante pour qu'elle respecte les dispositions de la Loi sur le drapeau et les emblèmes du Québec. 

La nation québécoise pâtit actuellement de ne pas pouvoir se replier sur ses propres symboles, affirme Donald Proulx. Le fleurdelysé peut bien flotter au vent sur quelques édifices, reste qu'il devrait également avoir sa place dans les salles de classe. L'homme d'affaires prend exemple sur nos voisins du sud : non seulement le drapeau américain trône-t-il fièrement à la vue des élèves dans les écoles là-bas, mais on y récite l'hymne national des États-Unis régulièrement. Il s'agirait dès lors, nous dit M. Proulx, de stimuler le sentiment patriotique chez les étudiants dans la province à partir d'un jeune âge. Un hymne propre aux Québécois serait de mise dans cette optique. 

Fini le cours d'Éthique et culture religieuse (ECR) ou le multiculturalisme ambiant dans les écoles du Québec alors que pour le Parti Patriote, la mondialisation, l'immigration de masse, l'immigration illégale et le néolibéralisme sont tous des agents qui risquent « de réduire notre pouvoir collectif ». 

Le Parti Patriote a su constituer au fil des dernières années une base importante de militants sur le terrain comme sur les réseaux sociaux. Le parti est devenu officiellement admissible auprès d'Élection Canada le 8 octobre 2019. 

 

Parti Patriote ©2019
Parti Patriote ©2019

Entrevue avec Michael Dionne, vice-président du Parti Patriote

Celui qui se présente modestement comme un homme à tout faire et le propriétaire d'une terre de sept acres à Sainte-Adèle est également un jeune père de famille de cinq enfants. Fier de ses racines et de notre histoire, Michael Dionne a été bercé par la politique, pour le dire de cette façon. C'est que notre aspirant politicien est le petit-neveu de feu René Lévesque et les débats enflammés autour de la tablée de famille, Michael en a été imbibé depuis qu'il est né.

Notre homme est aussi un batailleur. Le boxeur, judoka et ex-cadet de l'air ne veut pas siéger à Ottawa envers et contre tous : si le Parti Patriote s'en va en guerre, c'est pour le Québec. D'ailleurs, pas question ici de bien paraître, précise Michael. En effet, la formation politique ne se censurera pas, disposée à recevoir les critiques à condition que celles-ci soient constructives. Et à ceux qui croient que les Québécois sont trop « émotifs », il répond que les nôtres sont plutôt « colorés ». Ce qui est une force, à son avis, et non une faiblesse. 

Le Parti Patriote risque-t-il de diviser le vote bloquiste ? Ce n'est certainement pas l'intention de la formation politique. Celle-ci se dit au contraire ouverte à la convergence et aux compromis. Mais pas à n'importe quel prix. Le parti veut brasser la cage, choquer, parler crûment. Sa mission première est de permettre au Québec de se libérer du joug canadien : les Québécois « sont les mal-aimés » du Canada, déclare Michael, et il nous faut sortir de cette fédération le plus rapidement possible, coûte que coûte. Entre-temps, ce sont les intérêts des Québécois qui comptent, d'abord et avant tout.

Au-delà de la défense des intérêts du Québec à Ottawa et de l'accession à l'indépendance de la province, la formation politique amène d'autres idées sur la table, nous dit le membre et futur candidat à une prochaine élection fédérale. C'est notamment le cas en matière d'immigration, le Parti Patriote militant pour une réduction du seuil à 20 000 nouveaux arrivants annuellement. Parallèlement, une diminution des impôts prélevés sur les heures supplémentaires des travailleurs stimulerait leur productivité et les encouragerait à demeurer sur le marché de l'emploi, nous cite en exemple Michael.